Pour vous permettre de respecter la nouvelle législation concernant la valorisation des déchets alimentaires obligatoire pour tous au 01/01/2023, nous vous proposons une solution peu coûteuse et respectueuse de l’environnement : la déshydratation sur site des déchets avant collecte.

Une législation contraignante pour les gros producteurs de déchets

Depuis le 1er janvier 2016, un décret oblige tous les sites produisant plus de 10 tonnes par an de déchets alimentaires (bio-déchets de préparation, retours plateaux, invendus, etc…) à les trier à la source et à les valoriser par compostage ou par méthanisation dans des filières adaptées.

Or, les déchets alimentaires contiennent près de 80% d’eau, ce qui rend leur transport couteux d’un point de vue tant économique qu’environnemental. Leur stockage avant collecte peut également poser des problèmes d’hygiène et nécessiter l’aménagement d’un local réfrigéré.

La déshydratation des déchets alimentaires : une solution économique et vertueuse

La déshydratation des déchets alimentaires sur site permet de vous conformer à la législation en vigueur en réduisant considérablement les coûts liés à leur stockage, à leur collecte et à leur valorisation. Elle produit une poudre sèche inodore directement utilisable en agriculture.

Notre filiale DSE vous accompagne pour vous faire bénéficier de cette solution innovante. Nous vous fournissons les machines de déshydratation adaptées au volume de déchets à traiter, formons votre personnel à leur utilisation et collectons vos déchets déshydratés pour les acheminer vers un centre de traitement agréé.

Respect de la réglementation

Depuis le 1er janvier 2016, tous les sites produisant plus de 10T de biodéchets par an doivent les trier et les valoriser :

  • Respect du principe pollueur/payeur (investissez dans un système de revalorisation)
  • Tri à la source, diminution et valorisation des déchets organiques avec retour à la terre (compost) ou méthanisation

Gain financier

  • Maitrise des coûts à moyen et long terme
  • Baisse du volume des déchets et donc baisse du nombre de containers et de passages de collecte
  • Suivant les régions, baisse de la redevance incitative

Écologie

  • Réduction du volume des biodéchets d’environ 80 %
  • Réduction du nombre de passages de collecte, réduction de l’impact de CO2
  • Retour à la terre de la matière organique issue de la déshydratation

Réduction des nuisances

  • Réduction des espaces de stockage
  • Pas besoin de local réfrigéré
  • Réduction des nuisances (odeurs) et des nuisibles (rats, blattes…) dues au stockage des matières fermentescibles

Image positive

  • Éco-responsable
  • Économie circulaire

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